CR ADCG 15 Janvier 2019 : Différence entre versions
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| − | B. Présentation de l'avancée du travail de documentation et préparation de la Biennale | + | '''B. Présentation de l'avancée du travail de documentation et préparation de la Biennale''' |
L'association les Passeurs qui propose une occupation d'espaces vacants à titre gratuit. Organisation d'un après midi de réflexion le 20 janvier de 13h à 17h au 15 rue des Tournelles (quartier St bruno) pour imaginer des activités lors de la Biennale et les activités organisées en marge. Les premières propositions sont : | L'association les Passeurs qui propose une occupation d'espaces vacants à titre gratuit. Organisation d'un après midi de réflexion le 20 janvier de 13h à 17h au 15 rue des Tournelles (quartier St bruno) pour imaginer des activités lors de la Biennale et les activités organisées en marge. Les premières propositions sont : | ||
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-une mise en commun des communs. | -une mise en commun des communs. | ||
| − | Lucas est entrepreneur social qui a monté SYLHA | + | Lucas est entrepreneur social qui a monté SYLHA https://sylha.io/ . Le but est de construire une alternative à Visa Mastercard qui a aujourd'hui le monopole (plus de 90%) des transactions par carte bancaire. Les frais de transactions de SYLHA vont aux associations locales. SYLHA va bientôt passé en SCIC et les associations et les citoyens pourront donc rentrer dans la gouvernance. La carte Sylha coûte 5 euros et le terminal de paiement 192 euros. |
| − | C. Perspectives | + | Gaël est référent pour les communs des mobilités. Il avait été prévu de mener un travail de documentation du SMTC, de Métrovélo, de Citiz et de poser les questions de mobilités avec les habitants des quartiers sud et plus largement le sud de l'agglomération. Il fait également le lien avec Alternatiba. Le contexte actuel de mise en place des Autorités de Mobilités (en lien avec le Voironnais et le Grésivaudan) est favorable pour poser la questions des communs des mobilités. Plusieurs personnes ont des contacts avec des CITIZ pour l'aider dans sa démarche de documentation. Liens à construire avec l'ADTC. |
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| + | Pascal est référent autour des communs de la santé et du bien vivre. Il a commencé le travail de documentation de Solident, du centre de Santé au Village 2 et cherche des contacts pour documenter des Maraudes. Il se pose la question de la création d'un guide d'appui pour aider les organisations à prendre en compte les communs et adopter de nouvelles règles de gouvernance. Le travail de documentation n'est pas neutre, cela amène les structures à réfléchir sur leurs fonctionnements. Une question importante c'est de savoir si on va vers des organisations qui ne fonctionnement pas en commun, mais qui pourraient le devenir. Les communs de bien être et de la santé posent la question de l'échelle et de la situation actuelle du secteur médico-social. Historiquement ce secteur s'est construit à partir des besoins et des territoires, avec de multiples associations (ex : Handicap). Aujourd'hui, elles sont "rachetées" par des fondations ou des énormes associations. Cette logique est défini par l'ARS qui empêche les solutions de proximité. Une personne suggère de s'intéresser à la prise en charge des personnes âgées et au pavillon d'urgence. | ||
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| + | Skad s'intéresse aux communs culturels, en particulier les pratiques "hip hop". Il a identifié le JAM comme un pratique en commun. Le Jam est à la fois un échange artistique à partir de l'expression libre et à la fois un regroupement qui vise l'expression libre. Il y a de nombreux jams à Grenoble qui est une pratique très répandue. Le hiphop est une rebellion pacifiste vis à vis de ce qui est établi. Lors de la première biennale, on avait organisé une Jam Hiphop au Barathym. Cela avait été un moment très fort pour beaucoup de participants. On pose alors la question : qu'est ce qu'on souhaite faire lors de la prochaine biennale ? | ||
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| + | Nicolas organise des cafés Collaps à Grenoble [http://ici-grenoble.org/infos/la-une.php?id=7736 http://ici-grenoble.org/infos/la-une.php?id=7736.] Les comptes rendu sont en creative commons et il souhaiterait les valoriser comme communs de la connaissance. Contrairement à une association comme Adrastia, les cafés collaps essayent d'aller vers des préconisations et la promotion de la résilience. Anne Sophie signale qu'il y aura plusieurs évènements sur la collapso lors de la Biennale des villes en Transition et propose une mise en lien via Antoine Back. Concernant les communs négatifs discutés lors de la dernière rencontre (ex : une centrale nucléaire https://scinfolex.com/2018/06/10/le-zero-dechet-et-lemergence-des-communs-negatifs/) proposition d'envisager une présentation lors de la 3ème assemblée des communs. | ||
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| + | '''C. Perspectives''' | ||
Version du 16 janvier 2019 à 11:59
Présents : Guy, Yvette, Alexandre, Yann, Lucas, Stéphanie, Gaël, Pascal, Anne Sophie, David...
A. Accueil
B. Présentation de l'avancée du travail de documentation et préparation de la Biennale
L'association les Passeurs qui propose une occupation d'espaces vacants à titre gratuit. Organisation d'un après midi de réflexion le 20 janvier de 13h à 17h au 15 rue des Tournelles (quartier St bruno) pour imaginer des activités lors de la Biennale et les activités organisées en marge. Les premières propositions sont :
-un salon extérieur pour discuter des communs dans l'espace public
-une activité festive le samedi 16 mars
-une mise en commun des communs.
Lucas est entrepreneur social qui a monté SYLHA https://sylha.io/ . Le but est de construire une alternative à Visa Mastercard qui a aujourd'hui le monopole (plus de 90%) des transactions par carte bancaire. Les frais de transactions de SYLHA vont aux associations locales. SYLHA va bientôt passé en SCIC et les associations et les citoyens pourront donc rentrer dans la gouvernance. La carte Sylha coûte 5 euros et le terminal de paiement 192 euros.
Gaël est référent pour les communs des mobilités. Il avait été prévu de mener un travail de documentation du SMTC, de Métrovélo, de Citiz et de poser les questions de mobilités avec les habitants des quartiers sud et plus largement le sud de l'agglomération. Il fait également le lien avec Alternatiba. Le contexte actuel de mise en place des Autorités de Mobilités (en lien avec le Voironnais et le Grésivaudan) est favorable pour poser la questions des communs des mobilités. Plusieurs personnes ont des contacts avec des CITIZ pour l'aider dans sa démarche de documentation. Liens à construire avec l'ADTC.
Pascal est référent autour des communs de la santé et du bien vivre. Il a commencé le travail de documentation de Solident, du centre de Santé au Village 2 et cherche des contacts pour documenter des Maraudes. Il se pose la question de la création d'un guide d'appui pour aider les organisations à prendre en compte les communs et adopter de nouvelles règles de gouvernance. Le travail de documentation n'est pas neutre, cela amène les structures à réfléchir sur leurs fonctionnements. Une question importante c'est de savoir si on va vers des organisations qui ne fonctionnement pas en commun, mais qui pourraient le devenir. Les communs de bien être et de la santé posent la question de l'échelle et de la situation actuelle du secteur médico-social. Historiquement ce secteur s'est construit à partir des besoins et des territoires, avec de multiples associations (ex : Handicap). Aujourd'hui, elles sont "rachetées" par des fondations ou des énormes associations. Cette logique est défini par l'ARS qui empêche les solutions de proximité. Une personne suggère de s'intéresser à la prise en charge des personnes âgées et au pavillon d'urgence.
Skad s'intéresse aux communs culturels, en particulier les pratiques "hip hop". Il a identifié le JAM comme un pratique en commun. Le Jam est à la fois un échange artistique à partir de l'expression libre et à la fois un regroupement qui vise l'expression libre. Il y a de nombreux jams à Grenoble qui est une pratique très répandue. Le hiphop est une rebellion pacifiste vis à vis de ce qui est établi. Lors de la première biennale, on avait organisé une Jam Hiphop au Barathym. Cela avait été un moment très fort pour beaucoup de participants. On pose alors la question : qu'est ce qu'on souhaite faire lors de la prochaine biennale ?
Nicolas organise des cafés Collaps à Grenoble http://ici-grenoble.org/infos/la-une.php?id=7736. Les comptes rendu sont en creative commons et il souhaiterait les valoriser comme communs de la connaissance. Contrairement à une association comme Adrastia, les cafés collaps essayent d'aller vers des préconisations et la promotion de la résilience. Anne Sophie signale qu'il y aura plusieurs évènements sur la collapso lors de la Biennale des villes en Transition et propose une mise en lien via Antoine Back. Concernant les communs négatifs discutés lors de la dernière rencontre (ex : une centrale nucléaire https://scinfolex.com/2018/06/10/le-zero-dechet-et-lemergence-des-communs-negatifs/) proposition d'envisager une présentation lors de la 3ème assemblée des communs.
C. Perspectives